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La phobie est un handicap provoquant une inhibition ou une gêne, le sentiment qui paralyse et qui constitue actuellement une réelle menace pour la personne.

L’anxiété anticipatrice est l’une des principales raisons pour lesquelles les phobies ne doivent pas être traitées de la même manière pour tous. Cette forme d’anxiété peut varier en intensité et en nature selon le type de phobie, les facteurs déclenchants individuels et les réponses émotionnelles de la personne.

Dans les phobies complexes, telles que l’agoraphobie ou la phobie sociale, l’anxiété anticipatrice peut être plus généralisée et chronique, impliquant une appréhension constante des situations potentiellement menaçantes. En revanche, dans les phobies spécifiques, l’anxiété anticipatrice peut être plus ciblée sur des déclencheurs spécifiques, tels que la peur des araignées ou la peur de l’avion.

En ce qui concerne les circuits neuronaux impliqués dans les réponses d’anxiété anticipatrice associées aux phobies spécifiques et complexes, différentes régions de l’amygdale peuvent être activées en fonction du type de menace perçue ou de la situation anxieuse. Par exemple, des études neuroscientifiques ont montré que l’amygdale latérale est impliquée dans la détection et le traitement des signaux de menace émotionnelle, tandis que l’amygdale centrale joue un rôle clé dans la régulation des réponses de peur et d’anxiété.

Avec les méthodes comme: Hypnose et la thérapie par Mouvements Oculaires (type EMDR) ou encore la psychocorporelles permet de désactiver, désensibiliser des chocs et traumatismes restés en mémoire dans notre cerveau pour ancrer des ressources, changer des croyances et mettre en place des nouveaux comportements.

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